Le 8 juin 2025, Merab Dvalishvili a écrit un nouveau chapitre glorieux à l’UFC 316. Face à Sean O’Malley, le Géorgien s’est imposé par soumission, confirmant son règne sans partage chez les poids coqs. Ce n’était pas qu’un simple combat. C’était une démonstration de maîtrise, de stratégie et de mental d’acier.
Merab Dvalishvili vs Sean O’Malley 2 : Le Film du Combat
Le Prudential Center de Newark vibrait d’impatience. Le public savait qu’il allait assister à une revanche historique. Dvalishvili, 34 ans, 20 victoires pour 4 défaites, affrontait à nouveau l’ex-champion Sean O’Malley, toujours aussi charismatique mais désormais privé de sa couronne.
Le premier round a vu O’Malley briller. Son jeu de jambes, ses angles de frappe et sa vitesse ont désorienté le champion. Un instant, on a cru à un tournant. Pourtant, Merab restait concentré. Il laissait passer l’orage.
Dès le second round, la machine s’est mise en marche. Petit à petit, Dvalishvili a repris le contrôle du centre de l’octogone. Ses tentatives de takedown, même partiellement réussies, ont érodé le rythme de son adversaire. O’Malley, pourtant brillant, commençait à respirer plus fort.
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La Domination d’Enfer de Dvalishvili
Le troisième round a été un enfer pour O’Malley. Après une explosion de pression, Dvalishvili a réussi un porté, amenant son rival au sol. Ce n’était pas juste un takedown. C’était un début de fin.
Pendant plus de quatre minutes, Merab a maintenu une domination totale. Il a cherché la guillotine, puis a enchaîné sur un étranglement nord-sud rarissime. Un geste technique de haut niveau.
Sous cette pression insoutenable, O’Malley a dû taper. La victoire par soumission marquait la deuxième soumission en carrière du champion. Un message clair : il n’est pas qu’un lutteur. C’est un maître complet.
| Critère | Merab Dvalishvili | Sean O’Malley |
|---|---|---|
| Takedowns tentés | 12 | 0 |
| Takedowns réussis | 5 | 0 |
| Temps de contrôle au sol | 11 min 34 | 1 min 12 |
| Frappes précises | 67 | 89 |
Pourquoi Dvalishvili est Inarrêtable
Merab Dvalishvili ne gagne pas par la vitesse ou le style. Il gagne par l’étouffement. Chaque combat suit la même partition : pression constante, takedowns répétés, usure mentale et physique. Ce n’est pas une tactique. C’est une identité.
Contrairement à d’autres champions, son endurance ne fléchit jamais. Il court sur place entre les rounds, comme s’il n’avait rien ressenti. Cette capacité à maintenir un rythme infernal sur 25 minutes est unique.
Désormais, il ajoute la soumission à son arsenal. Ce n’est plus seulement un lutteur tenace. C’est un danger à tout niveau. D’ailleurs, notre guide sur l’entraînement MMA complet pourrait vous aider à comprendre ces techniques.
Merab Dvalishvili n’a jamais perdu par KO, décision ou soumission. Sa seule faiblesse théorique reste inutilisée.
Les Autres Moments Forts de l’UFC 316
La soirée n’a pas été qu’une affaire de Dvalishvili. Kayla Harrison a marqué les esprits en soumettant Julianna Pena au deuxième round. Double championne olympique de judo, elle confirme son statut de dominatrice absolue chez les poids coqs féminins.
Et ce n’est pas tout. Amanda Nunes est revenue. La légende, retirée depuis juin 2023, est entrée dans l’octogone pour annoncer son come-back. Un moment puissant, salué par toute l’assemblée.
L’UFC 316 aura donc été une soirée de légendes. Entre confirmation de règne, arrivée d’une nouvelle reine et retour d’une légende, le message est clair : le MMA est plus vivant que jamais. Pour aller plus loin, notre analyse sur le retour d’Amanda Nunes pourrait vous intéresser.
Questions fréquentes
Comment Merab Dvalishvili a-t-il gagné contre O’Malley ?
Il a remporté le combat par soumission au troisième round, via un étranglement nord-sud après une domination prolongée au sol.
Est-ce que Dvalishvili a perdu un combat en UFC ?
Non. Sa seule défaite en carrière remonte à 2013, bien avant son arrivée en UFC. Il est invaincu dans l’organisation.
Quel est le prochain adversaire possible pour Dvalishvili ?
Les noms de Cory Sandhagen ou de Umar Nurmagomedov circulent. Un combat contre un pur grapheur serait le test ultime de son évolution.
Merab Dvalishvili n’est plus seulement un champion. Il est devenu une référence. À l’UFC 316, il a transformé une revanche en démonstration. Son style, sa mentalité et désormais sa maîtrise du sol font de lui un cauchemar pour toute la division. Le règne continue. Et il ne montre aucun signe de faiblesse.